Perception du regard
Il y’a le regard pensant et philosophe,
qui par l’intensité du regard est à même d’analyser,
extraire, extrapoler et formaliser,
voire même prédire l’arrivée d’une catastrophe,
il est visionnaire comme s’il s’agissait d’une simple apostrophe,
Nul regard ne peut le rivaliser,
Par sa profondeur et sa perspicacité, nul besoin d’avaliser,
à vous décrire toute une scène avec une simple strophe.
Quant au regard vitreux, il est à demi-teinte,
mi-figue, mi-raisin et nullement clair,
il est furtif comme l’éclair,
son allure vous éreinte.
Deux regards qui secroisent peuvent provoquer un amour en étincelle,
Ou au contraire jaillir et provoquer une bagarre, voire même une guerre,
Qui ne prendra fin qu’une fois sous terre,
Ou souvent une amitié éternelle.
Le regard merveilleux, sourire aux lèvres comme Gatsby le magnifique,
qui apporte la joie et tout le temps vous soulage et vous réconforte,
vous ouvre grandes ouvertes toutes les portes,
Et vous emporte, par vents et marées, jusqu’au Pacifique.